mardi 29 décembre 2009

Manifestation anonyme et sans message

Notre démarche dans ce projet c’est décidée avec l’idée d’utiliser des masques. Ils ne sont pas neutres, ils sont à qualifier de « monstrueux », ils n’ont pas de caractères propres ou d’identités précises, ils sont entre l’humain et un personnage fantastique,
Le « monstre » ou l’hideux, est placé en marge d’une société qui glorifie l’idole, le luxueux et une unification stricte du comportement. La ville offre un défilé de ce phénomène (dans les rues commerçantes notamment) qui voit passer un va-et-vient incessant d’individus conformes aux règles du comportement social attendu. La foule, l’uniformisation fait ressortir le comportement déviant et décide de l’ignorer (le sdf, le fou qui parle tout seul etc.) ou de le contempler (spectacle de rue, enterrement de vie de garçon etc.). L’habitude les assimile à cette uniformisation, et si un comportement n’est pas habituel il devient événementiel (manifestation etc.).
Les masques servent à marquer la mise en marge par leur coté « monstre » mais servent aussi à l’anonymat car ils ne sont pas définissables, pas reconnaissables. Nous avons choisi de créer un événement dans une rue commerçante en ce plaçant de manière statique au milieu du passage (avec les masques), et devant l’entrée d’un magasin, nous ne bougeons pas ou très peu et nous ne communiquons rien, pas de paroles. A la suite de ce premier « événement » nous avons pensé à une manifestation silencieuse, anonyme et ne revendiquant rien.



Dans cette manifestation il n’y a qu’une personne muette, portant le masque, une pancarte blanche, et pourtant ayant l’attitude d’un manifestant. La manifestation est censée se faire entendre, et doit rassembler pour appuyer une revendication. De plus, pour quelqu’un qui en serait spectateur, elle fait office de divertissement (dans le sens où elle attire l’attention), ici nous jouons avec les codes de communications, nous créons un événement, nous prenons l’attitude d’une manifestation, mais en contradiction avec les règles de l’événement rien ne se passe.
Nous sommes dans un système de spectacle, la communication par le divertissement : « Toute la vie des sociétés dans lesquelles règnent les conditions modernes de production s'annonce comme une immense accumulation de spectacles. » Guy Debord , La société du spectacle. Les individus ont tellement intégré l’événement comme divertissant, comme outils de communications, qu’ils s’attendent à ce qu’on leurs vendent quelque chose (marchandises, services ou opinion), et nous avons repris ces systèmes mais s’en rien communiquer et ainsi perturber les habitudes des comportements face à l’événement, au spectacle.


Pour l’Observatoire Urbain des Pratiques Sociales
,
Gwenaël, Martin, Cecilia, Mathieu

lundi 28 décembre 2009

Urb'Aura

Une action qui nous marque,
Un lieu.

Pensez-vous que ce nous pouvons ressentir à un moment donné peut nous faire voir, considérer un lieu différemment?






Parce qu'il n'y aura pas toujours des situations marquantes mais il y aura forcément un lieu!






Les tendances dansent avec le temps












Les tendances dansent avec le temps.

Bio, écolo, rétro des termes marketing et en vogue qui perdent leur sens premier. Une tendance qui devrait plutôt représenter un engagement réel et personnel pour la bienfaisance de chacun.




Aujourd'hui, on commence à prendre conscience qu'il faut réagir face aux dégâts provoqués par la bêtise du génie humain sur les ressources naturelles.

Peut-on encore rétablir cette dégradation avancée? Ré-équilibrer ce mode de vie de surconsommation?


Quelques clichés pour sembler revenir aux sources de ce problème, des lieux donnant la sensation d'être au début de cette révolution industrielle, des situations ou éléments qui tendent à disparaître: le travail manuel d'un ouvrier remplacé et rentabilisé par "l'indubitable" mécanisation, la traditionnelle laverie occupée par une ménagère vendeuse d'une nouvelle lessive, la comparaison entre deux voitures montrant cette volonté d'une apparence rétro avec le confort du 21ème...


C'est aussi pour figer un instant de cette subversion qui n'a cessé de croître sans penser aux ressources épuisables, et pousser à se demander où nous en serions si la boulimie de l'individualiste avait su se résonner.





dimanche 27 décembre 2009

Bon t'es où?Au Mans et toi?Bah à Paris!Bon, alors, on fait comment pour le projet?
















Quelque chose nous relie. Le projet. Mais nous ne sommes pas au même endroit lorsque l'on veut commencer le projet. Deux lieux différents qui deviendrons l'élément moteur de nos actions.
Se rejoindre par la suite et tout relier pour enfin se rapprocher.

Deux espaces différents sont réunis sur une même image; elles sont 'accolées' entres elles.
La mise en scène permet une certaine logique quant à l'action entre les deux sujets qui semble être photographié au même moment. Néanmoins l'arrière plan nous démontre que cette action est improbable car elle comporte deux prises deux vues bien distinctes. Il y a clairement une mise en scène car l'action est jouée dans un espace/temps différent.

En faisant abstraction de la distance ou en la réduisant à quelques mètres et en mimant des gestes du type « je t'écoute-je t'entend » ou « l'un tire sur la corde -l'autre se fait emporté » on fait appel à l'humour. La corde aussi bien que le lien sonore expriment de manière poétique l'éloignement qui tente à tout prix un rapprochement.

La région parisienne résonnant en nous deux comme un port d'attache auquel nous revenons assez souvent, on se retrouve dans une situation de« voyageur » entre Le Mans et Paris; et c'est à ce titre que nous avons pu remarquer la différence entre ces deux villes.
Le rapprochement de deux photos différentes, de deux environnement différents( différence de population, de densité, de circulation) nous renseigne sur les caractéristiques que comporte ces deux villes que sont Le Mans et Paris.

Explorer la question de la distance nous amène à réfléchir aux moyens de transports. Nous nous sommes intéressés à deux types de transports: le TER (qui relie Le Mans à Paris) et les escalators que nous commençons à emprunter dès notre arrivé en gare de Montparnasse à Paris (ce dont on quasiment pas l'habitude au Mans).












On pourrait d’abord considérer un escalator en tant que transport en commun de la même façon que le métro qu’un train ou un bus, par le fait qu’il s’agit d’un dispositif adapté à l'accueil et au transport simultané de plusieurs personnes. Mais aussi par le fait qu’il confronte ses utilisateurs aux mêmes problèmes de répartition d’espace personnel et aux règles inconsciemment imposées.


Dès qu’il commence a y avoir assez de monde pour violer cet espace.
Mais à la différence des autres installations l’escalator ne possède pas de porte ou barrière créant une coupure avec le reste de l’environnement urbain et est en relation directe avec celui-ci, dans sa continuité, ce qui en fait également un lieu de passage.Cela impose d’adapter directement sa conduite en conséquence. Si dans les autres transports nous adoptons une conduite plutôt passive à l’égard d’autrui, cherchant à fuir leur espace personnel et de rejoindre le notre en oubliant le plus possible ce qui y est indésirable, ici il faut garder un état d’alerte afin d’éviter d’éventuelle collisions avec les autre utilisateur, que nous soyons actif ( se déplaçant dans l’escalator) ou passif (en y restant immobile).


Un certain nombre de règles se sont alors établies de façon à ce que les deux états puissent cohabiter. La principale et certainement la plus pratique et évidente consiste à séparer l’espace en deux parties : à droite pour les personnes passives et à gauche pour les actives.
Les autres servant globalement à protéger sa personne et faciliter le passage ( Les bagages encombrant toujours devant ou derrière soi, toujours prévoir une marche de secours ou se replier lorsque l’on est en groupe et que l’on discute cote à cote ou que l’on veut simplement être à l’aise etc..).


Ici, nous interrogeons cet équilibre en le déstabilisant, prenant complètement à revers son mouvement et du coup sa logique. Cette interrogation a directement reçus plusieurs réponses sous la forme d’insulte, de riposte, et de grommèlement. Mais aussi sous forme de formules de politesses en laissant libre le passage ou alors tout simplement d’incompréhension ou d’hébètement.


En expérimentant la photographie aussi bien que la vidéo, nous avons pu constater que ses deux méthodes ne servaient pas à dire ou à démontrer les choses d'une seule et même manière. En effet, la vidéo nous a permit d'aborder la performance en faisant intervenir la réaction d'Autrui, comportant ainsi sont lot d'imprévisibilité; alors que la photographie regroupe un certain nombre de choix préétablis pour un résultat final.

Projet d'Anaïs Ciaran et Quentin Aubé

avec l'aimable participation de Benjamin Feyfant.

mercredi 23 décembre 2009

Joyeux, joyeux Noël~~Chantons ensemble!! 23/12

Les gens sont très sympa aujourd'hui. Pourquoi?......parce que Noël vient à la ville ?

Elles viennent de l'ecole des beaux-arts Angers.

il nous demande pourquoi on fait le projet? c'est pour quoi? je ne peut pas chanter en anglais.

Joyeux, joyeux Noël~~Chantons ensemble!! NG

Nous nous attendions à l’effet de coopération mais nous sommes arrivés à un résultat :


La plupart des gens refusent nos demandes, seule une petit partie de le acceptés qui vous pouvez voir dans la vidéo ci-dessus. Bien que le résultat final n’est pas ce que nous voulons, mais nous avons trouvé ça c’est plus intéressant. Nous avons trouvé c’est la réaction naturelle du peuple pour traiter l’inconnu.


Regardez ses expressions!!!!!





mardi 22 décembre 2009

Expérience . BONJOUR !

Nous avons tenté cette petite expérience dans la rue des minimes (nous avons choisi cette rue parce qu'elle est très fréquentée).

En effet, en caméra cachée (ce qui explique la qualité discutable de ces extraits), nous avons demandé à une amie de souhaiter le bonjour aux passants et si ceux-là ne répondent pas, de laisser tomber quelques pièces de monnaie par terre...

Comme on peut le constater, très peu la salue en retour et beaucoup font mine de ne pas l'entendre. En revanche, lorsqu'une pièce tombe, leur ouïe semble plus fine...

ADELE - XILI - AUDREY

ADELE - XILI - AUDREY

VOUS, déplacez-vous. 3.






Autre expérience (la fin marche moins bien, à cause des rires...), mais cette vidéo reste assez amusante!

XILI - AUDREY - ADELE

Toi, déplace-toi. 2.


Tout le long de cette rue, Audrey s'invente un parcours, comme si l'endroit était jonché d'obstacle. Si cela parait amusant au premier coup d'oeil, elle peut peut-être aussi inciter les gens à changer de rue plutôt que de s'y engager?

AUDREY - ADELE - XILI

Expérience 2. TOI, déplace-toi.






Dans la foule, les personnalités ne s'expriment pas clairement; nous avons tous une façon similaire de nous déplacer, nous ne disons pas bonjour dans la rue parce que nous ne connaissons pas les gens, nous marchons plus ou moins vite, nous ne sommes pas "naturels'' comme nous pouvons l'être dans chez nous (dans notre intimité) etc.


Nous avons demandé à plusieurs étudiants du collectif d'inventer une nouvelle façon de marcher et de se mêler à la foule, pour créer une nouvelle dynamique au déplacement piéton dans la ville.




ADELE ROISNE


AUDREY GRANIER


XILI ZANG



PS : Cette vidéo (choisie parmi d'autres que nous avons faites), est probablement celle qui fonctionne le plus vis-à-vis de ce que nous voulions montrer (nous avions aussi essayé de face, les gens arrivant vers la caméra, puis s'en éloignant, mais leur façon de se déplacer se distinguait moins que lorsque l'on filme les passants de profil).

et attention ...

...Nous l'avons suivie en pensant que cette dame le jetterait dans la première poubelle venue, et bien pas du tout, après l'avoir mis dans son sac, elle a été attendre le tram puis est rentrée chez elle.

ADELE - XILI - AUDREY

ps: non non, nous n'avons pas été jusqu'à chez elle (hem). Nous n'en saurons donc jamais plus.

Expérience.

Nous avons déposé un magazine pornographique par terre, dans une rue très fréquentée du centre ville, pour étudier la réactions des passants. Au bout d'une dizaines de minutes sans qu'il ne se passe rien d'intéressant, j'ai éteint la caméra (les gens baissaient les yeux sans s'arrêter, sans sourire, rien, d'autres ne le remarquaient même pas). J'ai finalement rallumé la caméra en me disant, bon, peut-être qu'il faut attendre encore un peu et là...

ADELE ROISNE

XILI ZANG

AUDREY GRANIER

Repose-toi dans la ville. (parking souterrain place de la république)



Travail sur l'image de la "place". Recherche d'une place pour reposer son propre corps au coeur de la ville.

L'idée du parking souterrain est amusante en ce que le corps est protégé des intempéries extérieures et peut même s'allonger; On peut n'occuper qu'une seule place aisément, celle-ci étant large et longue.

Sur les photos où Xili est allongée, on remarque une tâche rouge que nous n'avions pas vu le jour même, métaphore involontaire de la difficulté d'aller se reposer dans la ville puis qu'il semblerait plutôt qu'elle se soit faite écrasée!!


ADELE , XILI , AUDREY

Joyeux, joyeux Noël~~Chantons ensemble!!

HoHoHo~~ c'est Louise (le caméraman) et Ying (qui tient l'iPhone).

Un après-midi de mi-décembre 2009, nous sommes allés à La Place de la République au Mans. Nous voulons savoir comment les gens réagissent quand ils sont confrontés à une demande étrange.

Notre demande est : chanter la célèbre chanson de Noël « Jingle Bells»( "Vive le vent" en français) mais dans les versions allemande, anglaise, japonaise, chinoise, cantonaise, coréenne.

Voici quelques réactions:


























Que nous ont-ils répondu ? :
Je ne comprends pas…
Je ne sais pas…
C'est trop difficile…

C'est chaud...



C'est vraiment drôle de voir leurs expressions quand ils ne peuvent pas prononcer un mot de la chanson. Cependant, notre objectif n'est pas de nous moquer d'eux mais de comprendre pourquoi la plupart refuse de chanter.
Quand un inconnu vous interpelle, suivrez-vous ses instructions ?
Accepterez-vous ? Si vous refusez, pourquoi ? Trouverez-vous une excuse pour refuser ou direz vous juste ‹ je ne m'intéresse pas › ?
N'avez-vous pas peur de vous retrouver sur internet ?



Ou peut-être manquez-vous d'humour?

lundi 21 décembre 2009

Assieds-toi. Vieux mans.


Y a-t-il un mode d'emploi pour l'utilisation des bancs publics?

AUDREY GRANIER - ADELE ROISNE - XILI ZANG

Ascenseur niveau -3.


Cette fois, c'est le "mobilier" au sortir de l'ascenseur qui nous a donné quelques idées de praticité du lieu.
Ici, la demoiselle fait sa gymnastique avec les barres de métal que l'on trouve dans l'ascenseur et à la sortie, à chaque niveau.
En général, les passants acceptent très naturellement cela, comme s'il n'y avait rien d'étonnant à ce que ces barres de maintient servent à se défouler, s'étendre. D'autres, par contre, ont ri.




XILI ZANG
AUDREY GRANIER
ADELE ROISNE

Ascenseur, place de la république.




Cet ascenseur nous a intéressées du point de vue de sa transparence.
En effet, un ascenseur est en général un endroit confiné, voire intimiste en ce que personne ne peut nous voir occuper cet espace (à l'exception des caméras, mais nous parlons de l'oeil humain).
Ici, il est en verre transparent et il est au dessus de quelque chose (la place de la république) et non dans quelque chose (immeubles etc). Ainsi, tous les passants alentours peuvent observer les gens qui s'y engagent et pendant quelques secondes, avant qu'ils ne descendent, leur façon de s'approprier ce petit endroit.
Nous avons essayé de donner à voir un couple de femmes, qui arrivent ensemble puis, une fois dans l'ascenseur, se rapprochent.
La vue du photographe ici est celle que peut avoir toute personne passant à proximité.





AUDREY GRANIER
XILI ZANG
ADELE ROISNE

samedi 19 décembre 2009

lundi 14 décembre 2009


































Le corps dans la ville, qu'est ce que ça donne ?
Avec une gymnaste, nous nous sommes promenées en ville, au début à la recherche de mobilier urbain pouvant servir d’agrée comme les reposes vélo, les poteaux (faisant office de barre d’échauffement). Ensuite, il était question de reprendre la forme architecturale (d’un pont du vieux Mans), et de jouer avec en utilisant le corps. Puis nous avons terminé notre parcours sous le tunnel Wilbur Wright, dans les petites alvéoles éclairées où sont suspendues des statues plutôt étranges et effrayantes. En accentuant l’opposition rue/alvéole, puis en travaillant sur la verticalité et l’horizontalité du lieu, sans oublier de jouer avec les spots lumineux, j’ai voulu nous emporter dans un autre univers.
Julie

ESPACE DE RUINES









photo -- espace de ruines

J’ai accidentellement trouvé ce lieu . Je pense qu’il est intéressant .
Ce sont des immeubles démolis par des explosifs , mais je ne sais pas pourquoi et je ne souhaite pas le découvrir . Pour moi , c’est un lieu pour pensé .
Tous les objets s’écrasent ou ont disparu . Mais , il y a des traces d’immeuble et de la famille (image-1) . J’ai vu les fragments des murs qui divisent l’espace . Dans le premier espace , il y a le trace d’ immeuble qui constituer une image de coupe de chambre sur le mur . Il y a une cheminée, un placard : des nécessités quotidiennes . Le mur est devenu noir à cause de la fumée . Sur le terrain, je trouve un gant de Mickey Mouse et grandes trace de pneu de camion en contraste. ( image -2 , image-3 ) cette chambre était-elle là ? Qu'est-il arrivé là ? C’est un espace de ruines , mais pourquoi il y a un bâtiment complet de l’autre côté ?

Au coucher du soleil, la cheminée en noir est comme une rue sur un plan (image-4 ,image-5) , il y a le papier peint qui exprime les chambres différentes , on peut penser que c’est la salle de séjour ? Ou est la chambre des parents? Ou elle est la chambre du garçon? Ou elle est la chambre de la jeune fille?
En meme temps , les papiers peint sont comme des peinture en grand format sur le mur (image-5) .

Après , j'ai trouvé ce trou, je ne connaît sais pas ce que sa véritable fonction , comme une porte, mais nous ne pouvons pas passer par la porte à un autre espace. Donc , c’est un trou pour se cacher .
Pour les deux barres , je ne sais pas leurs fonctions aussi . Mais , ce sont les règles pour moi , il a été écrit certains nombres , je pense que c’est une règle pour mesurer mes actions .
Je suis en France, mais je suis chinois, donc je le vois par le point de vue chinois .
En Chine, les problèmes de logement, de la démolition les veux ville , de l'urbanisation, sont complexes et sensibles, c'est un problème grave . Donc, je me suis intéressé à ce lieu . En France , j'ai visité les villes, je vois rarement des lieux comme ça . Mais en Chine, chaque ville a un lieu comme ça , pourquoi ? Je suis passé sur des lieux comme ça en Chine ,il y a aussi des traces de logement,mais les traces sont très différentes entre les deux pays .

QI ZHUO et LIANG MIN